Petit moment de poésie : voyage au pays des songes ...
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Petit moment de poésie : voyage au pays des songes ...
Cette nuit encore,
la nuit me portera conseil,
comme le dit le vieil adage,
cette nuit à nouveau
je m'endormirais et je partirais
pour le plus beau de tous les
voyages, je m'envolerais au pays
des songes, dans un univers
où il n'existe plus aucune frontière
ni aucun tabou, où la souffrance
est bannie,
Il y a la bas, dans les éthers profonds
de mes rêves,
des oiseaux bleus et des soleils en feu,
des lunes rouges et des arbres de verre,
il est un pays enchanté qui n'a de limites
que mon imagination sans limite aucune ;
Cette nuit quand mon corps
dans ce lit froid demeurera
comme un poids mort,
mon esprit se meuvera avec facilité,
oubliant la lourdeur de mes os, de mes muscles
de mon squelette, je serais alors plus léger
qu'une plume, plus éclatant de lumière
qu'une étoile,
cette nuit je vivrais encore des aventures
qui sortent de l'ordinaire,
de cette réalité terrestre quotidienne,
Cette nuit je serais ce que je désire etre,
faisant tomber les masques et les artifices,
Car de tout temps la nuit
est le domaine des conteurs, chanteurs et poetes,
de ceux qui depuis longtemps
ont compris l'importance de rever,
que l'important n'est pas cette enveloppe,
cette coquille de chair qui sert de véhicule,
mais l'âme qui se meut et s'agite,
et qui attend la nuit pour s'évader
où le temps semble s'être arreté
Pour faire place à l'Eternité ...
la nuit me portera conseil,
comme le dit le vieil adage,
cette nuit à nouveau
je m'endormirais et je partirais
pour le plus beau de tous les
voyages, je m'envolerais au pays
des songes, dans un univers
où il n'existe plus aucune frontière
ni aucun tabou, où la souffrance
est bannie,
Il y a la bas, dans les éthers profonds
de mes rêves,
des oiseaux bleus et des soleils en feu,
des lunes rouges et des arbres de verre,
il est un pays enchanté qui n'a de limites
que mon imagination sans limite aucune ;
Cette nuit quand mon corps
dans ce lit froid demeurera
comme un poids mort,
mon esprit se meuvera avec facilité,
oubliant la lourdeur de mes os, de mes muscles
de mon squelette, je serais alors plus léger
qu'une plume, plus éclatant de lumière
qu'une étoile,
cette nuit je vivrais encore des aventures
qui sortent de l'ordinaire,
de cette réalité terrestre quotidienne,
Cette nuit je serais ce que je désire etre,
faisant tomber les masques et les artifices,
Car de tout temps la nuit
est le domaine des conteurs, chanteurs et poetes,
de ceux qui depuis longtemps
ont compris l'importance de rever,
que l'important n'est pas cette enveloppe,
cette coquille de chair qui sert de véhicule,
mais l'âme qui se meut et s'agite,
et qui attend la nuit pour s'évader
où le temps semble s'être arreté
Pour faire place à l'Eternité ...
Re: Petit moment de poésie : voyage au pays des songes ...
J'avais ardemment envie de vous faire partager ces extraits de la critique de Krinein sur Dead Space, un jeu de survival horror avec des zombies et des flingues.
Savoir que Nicolas a écrit cette critique au premier degré me met en joie!
De toute façon, nous ne sommes pas là pour essayer de discuter avec les autochtones, ceux-ci étant trop vindicatifs pour entendre raison. Du coup, autant les occire. Pour se faire, Dead Space innove en intégrant le principe de « démembrement stratégique », nom bien pompeux qui offre néanmoins un peu de renouveau. En effet, inutile d'essayer de creuser la tête du monstre ou de lui agrandir le nombril, la bestiole encaisse drôlement bien ces coups qui seraient mortels à tout bon zombie qui se respecte. Le plus efficace est alors de virer les appendices (bras, jambes, trucs indéterminés qui dé¬passent) pour l'empêcher d'attaquer, de se mouvoir, ou le vider de son sang. Dans l'esprit, ça change beaucoup de chose.
Pour se faire, Isaac aura l'opportunité de récupérer un certain nombre d'armes correspondant très bien au monde de la survie en milieu hostile. On pourra simplement shooter, mais aussi brûler et découper de diverses façons, grâce à un arsenal bien pensé et fourni
[…] On gardera tout de même l'écrasement à coup de tatane, très utile pour se cal¬mer les nerfs sur un cadavre, ennemi ou pas. […]
La gestion de la physique présente néanmoins un petit bémol, les cadavres et morceaux de cadavres réagissant très bizarrement au contact de l'environnement, à commencer par Isaac. On a l'impression que le corps se scotche momentanément à ses jambes et ne pèse pas plus de quelques grammes. Etrange, mais pas rédhibitoire.
Savoir que Nicolas a écrit cette critique au premier degré me met en joie!
JoelRobuchon- Ségolène Reinale
- Nombre de messages : 6908
Date d'inscription : 12/05/2005
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