Sms anti tabac
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Sms anti tabac
LYON (AFP) - vendredi 25 mars 2005 - L'Assurance maladie et l'opérateur de téléphonie mobile Orange ont lancé vendredi, dans le Rhône, un programme expérimental d'aide au sevrage du tabac fondé sur l'envoi de SMS.
Ce programme, "une première mondiale", selon un responsable Orange, est expérimenté depuis mai 2004 en Saône-et-Loire. Il a été élaboré par une équipe pluridisciplinaire, dont faisaient partie des tabacologues et des pédopsychiatres.
"Il ne s'agit pas d'une solution miracle pour s'arrêter de fumer. Cela vient en accompagnement d'un dispositif médical", a expliqué Daniel Carré, directeur de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) de Saône-et-Loire, lors d'un point presse à Lyon.
Les SMS personnalisés, selon l'âge ou le sexe, peuvent être des messages de motivation, de conseil pur, ou des "messages chocs" tels que "le tabac noircit les dents, augmente les dépôts de tartre brun et favorise le déchaussement des dents".
L'expérimentation gratuite, à laquelle ont participé 150 personnes en Saône-et-Loire, est étendue au Rhône afin d'atteindre un échantillon de 1.200 personnes permettant de tester la valeur scientifique du dispositif, a expliqué le directeur régional de l'Assurance maladie, Georges Dorme.
Les personnes souhaitant se lancer dans cette démarche doivent être âgées au minimum de 25 ans, et remplir un formulaire mis à disposition dans les CPAM et chez leurs partenaires, parmi lesquels les centres d'examen de santé. Le programme s'étend sur 12 semaines, avec une fréquence de messages plus importante au début qu'à la fin (un SMS par jour au maximum).
"Je me suis inscrite à un moment où j'avais très envie de m'arrêter de fumer. Cela a été un petit coup de pouce extérieur", a témoigné Patricia Bouvet, une ex-fumeuse et agent CPAM, sevrée de tabac depuis sept mois.
Ce programme, "une première mondiale", selon un responsable Orange, est expérimenté depuis mai 2004 en Saône-et-Loire. Il a été élaboré par une équipe pluridisciplinaire, dont faisaient partie des tabacologues et des pédopsychiatres.
"Il ne s'agit pas d'une solution miracle pour s'arrêter de fumer. Cela vient en accompagnement d'un dispositif médical", a expliqué Daniel Carré, directeur de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) de Saône-et-Loire, lors d'un point presse à Lyon.
Les SMS personnalisés, selon l'âge ou le sexe, peuvent être des messages de motivation, de conseil pur, ou des "messages chocs" tels que "le tabac noircit les dents, augmente les dépôts de tartre brun et favorise le déchaussement des dents".
L'expérimentation gratuite, à laquelle ont participé 150 personnes en Saône-et-Loire, est étendue au Rhône afin d'atteindre un échantillon de 1.200 personnes permettant de tester la valeur scientifique du dispositif, a expliqué le directeur régional de l'Assurance maladie, Georges Dorme.
Les personnes souhaitant se lancer dans cette démarche doivent être âgées au minimum de 25 ans, et remplir un formulaire mis à disposition dans les CPAM et chez leurs partenaires, parmi lesquels les centres d'examen de santé. Le programme s'étend sur 12 semaines, avec une fréquence de messages plus importante au début qu'à la fin (un SMS par jour au maximum).
"Je me suis inscrite à un moment où j'avais très envie de m'arrêter de fumer. Cela a été un petit coup de pouce extérieur", a témoigné Patricia Bouvet, une ex-fumeuse et agent CPAM, sevrée de tabac depuis sept mois.
Satheen- Adepte de l'orang-outanisme
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