En ce moment à la télé...

Justement, j'ai essayé de chercher un peu si 7th Heaven avait la même connotation que 7ème ciel en français... un peu en vain pour l'instant. Mais c'est vrai que c'est rigolo !


edit : bon apparemment, to be in seventh heaven, est bien une expression idiomatique. Mais apparemment, c'est vraiment plutôt utilisé pour parler d'un bonheur extrême.
(cf ici et là )

Ah bah bravo! Bientôt, le prochain rapport du Vatican à propos des évêques négationnistes s'intitulera . "Monseigneurs Lefebvre et Williamson: comment s'envoyer en l'air"

Ce soir y'a sacré Graal des Monthy Python sur arte dommage pour moi ma femme souhaite regarder autre chose, et moi j'ai pas envie de monter regarder sur la tv du haut. Tant pis je vais explorer le GUITARIST de ce mois ci cleui avec John FRUSCIANTE en couverture et un spécial ZZ top à l'intérieur de dedans le magazine.

Tiens j'ai mis Docteur Quinn femme médecin en fond, et qu'est-ce que ça a l'air cucul !
J'ai jamais aimé cette série, contrairement à La petite maison dans la prairie qui se passe pourtant à la même époque et a été aussi tourné à peu près à la même époque...

Ca va pas la tête. Dr Quinn a été tourné longtemps, très longtemps après La petite maison.

Un petit coup de Wikipedia pour vérifier :
- Dr Quinn a été diffusée pour la première fois de 93 à 98
- La petite maison dans la prairie de 1974 à 1983!

La petite maison dans la prairie, ma mère regardait ca quand elle etait toute petite et c'etait en noir et blanc :p

Alors que docteur quinn, c'etait nouveau quand j'avais huit ans environ et ca passait le mardi soir pour qu'on puisse regarder :p

Ah ouais ??? Mince j'étais persuadée que l'actrice qui joue docteur Quinn sortait tout droit des années 70^^ Cela dit, elle a une coupe encore plus kitsch que les choucroutes qu'on voit parfois dans les 70's^^ (c'est à se demander s'ils se sont renseignés sur les coupes de la fin du XIXème quand ils ont fait leurs séries, dans la PMDLP aussi ils ont pris des libertés dessus pour que ça colle à la mode de l'époque de la diffusion...)

Sinon le mec dont Dr Quinn est amoureuse, ce serait pas "Le rebelle" ? (il a la même choucroute aussi, sauf qu'il se balade pas en moto^^)

Rhaaa toy story 2 c'est l'éclate totale, j'adore les jeux de mots foireux !!!!

faut que je me l'achète il est enorme !!!

Hier, emporté par une envie manifeste de glander, je mattais la 6 avec une émission présentée par Boyer et intitulée Nos meilleurs moments télé. Ou un truc dans ce genre. Une émission franchement fourre-tout qui revenait sur un tas d'émissions cultes, notamment pour le trentenaire que je suis : au menu des choses aussi différentes que Club Dorothée, L'île aux enfants, le Morning Live, les Inconnus, Loft story ou Nulle Part Ailleurs. Sans oublier Apostrophe, Droit de réponse, Les jeux de 20h ou le Petit Rapporteur... que je connais beaucoup moins bien.

Avec ce retour, on se rend compte que les années 2000 ont tué une certaine liberté qui prenait ses aises à la télé, une liberté déjà mise à mal par les années 90. Je me rappelle avoir regardé la playmate de Cocoboy*, elle passait à 19H40 à l'époque. Qui imaginerait aujourd'hui des seins nus en access prime time (ouais je suis in, je parle en anglais). L'exemple le plus clair est sans doute la déchéance de Canal+ ou M6, notamment la 4 qui peine désormais à gratter le vernis du socialement acceptable.
Je me demande quelle émission des 5 dernières années pourra rester dans les mémoires.

Je me rends compte aussi avec effroi le nombre d'heures passées devant la télé. Dorothée a duré dix ans avec des périodes de 21h de Dorothée par semaine! 21h!!

*Oui, l'émission terminait aussi sur le côté coquin, évidemment il y a toujours un côté coquin. Sexy folies où sur France 2, des femmes dans la rue, étaient invitées à montrer leurs dessous ou plus. Sexy Zap sur M6 pour laquelle je me relevais parfois la nuit, poussé par des hormones adolescentes. Ou encore Benny Hill sans cesse coursé par de jolies donzelles affriolantes (pour ceux comme moi qui se demandent où est Benny Hill, il est mort en 1992).

C'est ce que ne fait que répéter ma copine. Mais les choses changent. Les calendriers de femmes à poil tendent à disparaître, même des cabines de chauffeurs de routier, tandis que le calendrier des Dieux du Stade trône dans certaines toilettes.

Sur Virgin 17, il y avait une émission sur les 30 plus grandes divas. Etonnant de la part d'une chaîne consacrée exclusivement (ou presque) à la musique de djeunz. Quelque chose m'a mis la puce à l'oreille quand j'ai vu Gwen Stefani (de No Doubt) devant Edith Piaf. Vous me direz que ni l'une, ni l'autre ne sont des divas. Pink était un peu plus haut dans le classement. Pour la suite, on a vu du Madonna, du Lady Gaga, du Mariah Carey (la seule qui pourrait peut-être prétendre au classement vu le début de sa carrière, mais là on a eu une chanson r'n'b tout bien vocodée comme il faut). La deuxième était Céline Dion. Là encore ça se défend.

Mais la plus grande diva, selon Virgin 17, était au final... Rihanna!

Ah ouais, donc Mary Lambert (Simetierre) en avait tellement marre d'être devenue has been qu'elle inflitre la franchise Urban Legend pour nous y pondre une sorte de sous-Candyman gore et débile à souhait avec en prime un fantôme qui fait les gros yeux. Je ne sais toujours pas si c'est génial ou complètement nul mais c'est très sympa. Sinon si on a du temps à perdre, on peut changer le titre du film en Destination Finale 5 ou en Poltergeist 4 ça ne changera strictement rien à l'affaire.

Ah voila c'est fini. Un épilogue bien laid avec des images de synthèse.

C'est le combientième Urban Legends ? Moi j'avais vu le 2, qui était un chef d'oeuvre du 7ème art (on en parlait avec Riffhifi sur je sais plus quel topic de Kri)
Sinon moi je préfère les Destination Finale à tous les autres slasher teen pseudo gore-débile, parce que j'aime bien le concept, même si à la longue son exploitation devient effectivement de plus en plus improbable^^

C'est le 3ème.

En ce moment... en fait non hier il y avait un truc formidable sur la 6 : Enquête exclusive grand format. Sujet : les villes de demain (Tokyo, Dubaï, Sao Paulo). Avec Bernard de la Villardière.

Je n'ai regardé qu'un bout de Tokyo mais qu'est-ce que c'était drôle. Evidemment les clichés étaient légions : hôtels capsule, maison de 1,70 de large... Mais surtout Bernard était au sommet de sa forme : placement adéquat des rares mots japonais qu'il doit connaître (Konishiwa et Arigato évidemment), désintérêt total de ce que lui racontaient les gens. Du genre il fait du golf sur le toit d'un immeuble, l'entraîneur le place correctement, mais Bernard se redresse pour présenter son sujet et foirer son coup. Mais le top du top c'était la récolte de la patate douce au sommet d'un immeuble. Bernard a placé LA phrase qui tue : "vous êtes un samouraï de la patate". Un samouraï de la patate!

Faut que je zieute le passage sur M6 Replay (si ça passe).

nazgul666 a écrit:Faut que je zieute le passage sur M6 Replay (si ça passe).

Excellente idée, moi qui regrettai de n'avoir pu regarder cette émission j'avais pas pensé au replay, merci GE servicve.

Tiens le Petit Journal de Canal en a parlé.

http://player.canalplus.fr/#/351146

Ca commence vers la 7ème minute.

En ce moment, c'est le Tour de France. J'ai vu un escargot dessiné sur une route, Charlie de Où est Charlie, une fille en maillot de bain, un groupe de mecs en maillot de bain (avec ce genre de maillot) et un mec avec les fesses nues.

48 est vraiment incorrrigible !

Surtout que ça s'est terminé par une fabuleuse rencontre entre Lance Armstrong et Nicolas Sarkozy.

Tiens Dédé au cas où, tout de suite sur Arte
British Blues Explosion

Comment le blues des origines a donné naissance aux Rolling Stones ou aux Yardbirds et ranimé l'esprit du rock'n'roll.

Au début des années 1960, en Angleterre, ceux qu'on présente comme étant les ambassadeurs du rock'n'roll (Tommy Steele, Adam Faith et Cliff Richard) abandonnent peu à peu leur image de "rebelle". Même Elvis Presley, rentré au bercail après son service militaire, devient un pilier de l'establishment. Les jeunes Anglais se tournent alors vers un son plus authentique et plus sauvage. Dans les chambres d'ados, de Londres à Newcastle en passant par Liverpool, on gratouille des guitares en écoutant en boucle Muddy Waters, Howlin' Wolf et John Lee Hooker. De cet amour pour le blues américain va naître un nombre impressionnant de groupes - dont les Rolling Stones, les Animals, les Yardbirds... - qui vont rendre hommage au blues tout en le modernisant.


Et le reste de la soirée s'annonce pas mal aussi

MERCI ! ! ! !

Dire que finalement je n'ai rien regardé de ce Summer of 60's