La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
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La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Objet de désir et de convoitise, faiblesse des héros, obsession des méchant, seule au monde dans un environnement hostile ou entourée de princes charmants benêts qu'elle enverra valdinguer d'un sourire coquin, la femme occupe une place toute particulière au cinéma. Les Italiens, séducteurs nés, machos à leurs heures et adeptent de la mama aux pastas al'pesto, ont entretenu dans leur cinéma une relation étrange avec le sexe faible, relation teintée de masochisme, cruauté et...fascination.
Muscles et carton pâte : le peplum
Rares, très rares sont les heroines de Peplum parvenant à exister aux côtés des musculeux Hercule ou Maciste. Pour autant, les femmes des peplum, bien qu'engoncées dans leurs rôles interchangeables de plat de nouilles sur pied, se révèlent, par un étrange paradoxe, comme élément central de toutes les intrigues. Que seraient nos baraqués barbus sans jeunes filles à délivrer de quelques tyrans fourbes, fiancées à sauver ou belle dame à secourir.
Deux exemples viennent cependant contredire la thèse de la femme-cruche attendant son culturiste sans broncher : l'Amazone guerrière et La reine à qui on ne la fait pas, nonmaisho. Ecorchant quelque peu le mythe, l'Amazone guerrière ne s'est déclinée qu'en un aéropage de mégères oubliant bien vite leurs penchants belliciste au contact de l'Homme (de préférence musclé et luisant d'huile), jusqu'à devenir un pretexte érotique. Ainsi ce savoureux titre d'Alfonso Brescia, Les Amazones font l'Amour et la Guerre.
Plus intéressante, La reine à qui on ne la fait pas, nonmaisho n'aime rien tant que d'asseoir son pouvoir par quelques ordres implacables lancées d'une voix sans appel, impeccablement assise sur son trône ouvragé, lui-même entouré d'esclaves soumis, d'une panthère et d'un palmier en pôt pour faire joli. Là, on rigole plus et ça file droit mes gaillards ! Bon comme le peplum doit rester un genre moral, celles qui ne meurent pas finissent dans les bras d'Hercule/Maciste/Ursus/Collossus, mais ces femmes au caractère bien trempé sauront auparavant faire tourner tous ces messieurs en bourique, avant qu'un mercenaire fourbe* ne cause sa perte.
(*vous savez, ceux qui sont moches et murmurent derrière un pilier. Ex : Serge Gainsbourg dans Hercule se déchaîne)
La Vierge Gothique
Le cinéma gothique, genre aux valeurs bien distinguées où le mal et la perversité dégustent inlassablement face à la pureté et l'innocence, fut un terrain de jeu plus amusant pour les femmes du cinéma italien. Non pas dans le bon rôle, registre où nos demoiselles ont un espace d'expression proche du peplum, agrémenté parfois de quelques tortures aptes à faire saliver le spectateur, mais plutôt dans le mauvais. Maîtresse-étalon de la sorcière gothique qui ne laisse pas marcher sur les pieds, Barbara Steele s'impose dans le Masque du Démon (Mario Bava) comme une figure à la fois séductrice et mortelle, entraînant dans un piège de chair et de sang les hommes trop sures d'eux ayant fait l'erreur de la sous-estimer.
La fille du saloon
Le western-spaghetti contient il est vrai peu de femmes et lorsque c'est le cas, elles sont caractérisées avec une finesse à toute épreuve : celles qui ne sont pas de la haute (et donc empôtées comme la dernière des cruches) sont des putes de saloon. Ces dernières sont cependant les plus intéressantes et rassemblent les qualités indispensables d'un personnage de western : elles ont du caractère (ce qui leur vaut parfois une paire de baffes), savent monter à cheval et sont dégourdis avec les armes à feu. Si l'on se souviendra de la farouche Loredana Nusciak qui ensorcelle littéralement Django dans le film éponyme, LA femme du western rital est incontestablement Claudio Cardinale dans Il etait une Fois dans l'Ouest. Fragile, battante, autonome et manipulatrice...et en plus elle est jolie.
Poudre et poudrier
Changement de donne aux heures du polars, où la femme ne devient plus qu'une sorte de poupée gonflable martyrisée par la racaille gauchiste aux cheveux longs, attendant, haletante et pleurante, d'être libérée par un fougeux Latin qui l'honorera d'un baiser rapide n'ayant rien d'hollywoodien. Le polar italien est une affaire d'homme et de toute façon, Rome, telle qu'elle st montrée à l'écran, n'est pas un endroit pour les jeunes filles, tant violeurs et casseurs y abondent. Mieux vaut alors qu'elles restent à la maison à attendre le héros en nuisette ou en faisant des pastas al'pesto. Par contre, il arrive parfois qu'une femme se lie avec un groupe de brigands, où elle tiendra dans l'anarchie la plus complète le rôle de mère, amante, tentatrice et agent double à la solde du policier moustachu au poing leste. En général, ça tourne vinaigre pour elle -mais moins que pour les vrais méchants-.
La libération de la femme : le giallo
D'un écart à l'autre, l'avènement du giallo permet de montrer la femme sous un jour plus ensoleillée. Meurtrière, mystérieuse, manipulatrice, séductrice, faussement fragile et soumise lorsque cela soutient ses intérêts, la femme se trouve alors au coeur d'intrigues échevelées, où elles passent de suspectes à victimes, magnifiées dans des morts atrocement magnifique rappelant que le meurtre est un grand acte érotique. Argento notamment, lorsqu'il ne tourne pas un Suspiria presque exclusivement féminin, laissa échapper sa fascination des femmes tout au long de sa filmographie, peignant quelques créatures suaves et girondes bernant les héros sans qu'ils s'en rendent compte, ces idiots.
Le film de cannibale
Ici nous touchons aux plus bas instincts de l'humanité, bas instincts auxquelles la femme devra faire face, réduite qu'elle est au statut d'animal et d'objet sexuel. Pour autant, une fois les derniers sévices accomplis, la femme deviendra la voix de la raison se dressant au milieu de la folie des hommes, lorsqu'elle ne se mue pas en une tornade vengeresse du plus bel effet.
Le film d'horreur
Esthétiquement, les chairs nues et les seins rebondis se mêlent avec le grains rapeux et le gore gros rouge des artisans transalpins. On peut dire que c'est donc très joli. Au milieu de ces tombereaux d'innocentes victimes, citons Catrionna McColl qui tire son épingle du jeu en campant chez Maître Fulci une troublante blonde hitckcockienne de l'épouvante. Il est d'ailleurs intéressant de noter que lorsqu'elle quitte son statut de victime, la femme du film d'horreur italien devient un bourreau des plus delectable (ex : le Dernier train de la Nuit)
La sexy comedie
Doctoresse en prise avec un régiment de troufions, nymphette au regard bleue opposée à des contenairs de lycéens en rut...et pourtant, la femme dans la sexy-comedie a une place assez spéciale. Elle est le receptacle de tous les fantasmes, de toutes les attentions. Tous les hommes à ses pieds, elle gambade l'air de rien, au milieu de soupirants médusés prêt à tout pour partager son lit sans se rendre compte qu'ils se font ballader par la queue.
L'érotisme et le porno
Ici comme pour le reste, tout dépend de la sensibilité des réalisateurs. Citons Tinto Brass qui de son habile coup de caméra a su magnifier les beautés anonymes peuplant ses films. L'icone, inconstestablement, c'est la Black Emanuelle de Bitto (!) Albertini, réponse colorée au film de Just Jaeckin où Laura Gemser, question charme, vaut bien Sylvia Kristel.
Conclusion
euh non avec toutes ces femmes je suis un peu intimidé, j'ose plus essayer de conclure.
Ah si juste une chose : y'a pas eu des masses d'héroines, par contre, le cinéma italien compte un sacré paquet de garces. Ce qui est quand même plus agréable à regarder (si si).
Muscles et carton pâte : le peplum
Rares, très rares sont les heroines de Peplum parvenant à exister aux côtés des musculeux Hercule ou Maciste. Pour autant, les femmes des peplum, bien qu'engoncées dans leurs rôles interchangeables de plat de nouilles sur pied, se révèlent, par un étrange paradoxe, comme élément central de toutes les intrigues. Que seraient nos baraqués barbus sans jeunes filles à délivrer de quelques tyrans fourbes, fiancées à sauver ou belle dame à secourir.
Deux exemples viennent cependant contredire la thèse de la femme-cruche attendant son culturiste sans broncher : l'Amazone guerrière et La reine à qui on ne la fait pas, nonmaisho. Ecorchant quelque peu le mythe, l'Amazone guerrière ne s'est déclinée qu'en un aéropage de mégères oubliant bien vite leurs penchants belliciste au contact de l'Homme (de préférence musclé et luisant d'huile), jusqu'à devenir un pretexte érotique. Ainsi ce savoureux titre d'Alfonso Brescia, Les Amazones font l'Amour et la Guerre.
Plus intéressante, La reine à qui on ne la fait pas, nonmaisho n'aime rien tant que d'asseoir son pouvoir par quelques ordres implacables lancées d'une voix sans appel, impeccablement assise sur son trône ouvragé, lui-même entouré d'esclaves soumis, d'une panthère et d'un palmier en pôt pour faire joli. Là, on rigole plus et ça file droit mes gaillards ! Bon comme le peplum doit rester un genre moral, celles qui ne meurent pas finissent dans les bras d'Hercule/Maciste/Ursus/Collossus, mais ces femmes au caractère bien trempé sauront auparavant faire tourner tous ces messieurs en bourique, avant qu'un mercenaire fourbe* ne cause sa perte.
(*vous savez, ceux qui sont moches et murmurent derrière un pilier. Ex : Serge Gainsbourg dans Hercule se déchaîne)
La Vierge Gothique
Le cinéma gothique, genre aux valeurs bien distinguées où le mal et la perversité dégustent inlassablement face à la pureté et l'innocence, fut un terrain de jeu plus amusant pour les femmes du cinéma italien. Non pas dans le bon rôle, registre où nos demoiselles ont un espace d'expression proche du peplum, agrémenté parfois de quelques tortures aptes à faire saliver le spectateur, mais plutôt dans le mauvais. Maîtresse-étalon de la sorcière gothique qui ne laisse pas marcher sur les pieds, Barbara Steele s'impose dans le Masque du Démon (Mario Bava) comme une figure à la fois séductrice et mortelle, entraînant dans un piège de chair et de sang les hommes trop sures d'eux ayant fait l'erreur de la sous-estimer.
La fille du saloon
Le western-spaghetti contient il est vrai peu de femmes et lorsque c'est le cas, elles sont caractérisées avec une finesse à toute épreuve : celles qui ne sont pas de la haute (et donc empôtées comme la dernière des cruches) sont des putes de saloon. Ces dernières sont cependant les plus intéressantes et rassemblent les qualités indispensables d'un personnage de western : elles ont du caractère (ce qui leur vaut parfois une paire de baffes), savent monter à cheval et sont dégourdis avec les armes à feu. Si l'on se souviendra de la farouche Loredana Nusciak qui ensorcelle littéralement Django dans le film éponyme, LA femme du western rital est incontestablement Claudio Cardinale dans Il etait une Fois dans l'Ouest. Fragile, battante, autonome et manipulatrice...et en plus elle est jolie.
Poudre et poudrier
Changement de donne aux heures du polars, où la femme ne devient plus qu'une sorte de poupée gonflable martyrisée par la racaille gauchiste aux cheveux longs, attendant, haletante et pleurante, d'être libérée par un fougeux Latin qui l'honorera d'un baiser rapide n'ayant rien d'hollywoodien. Le polar italien est une affaire d'homme et de toute façon, Rome, telle qu'elle st montrée à l'écran, n'est pas un endroit pour les jeunes filles, tant violeurs et casseurs y abondent. Mieux vaut alors qu'elles restent à la maison à attendre le héros en nuisette ou en faisant des pastas al'pesto. Par contre, il arrive parfois qu'une femme se lie avec un groupe de brigands, où elle tiendra dans l'anarchie la plus complète le rôle de mère, amante, tentatrice et agent double à la solde du policier moustachu au poing leste. En général, ça tourne vinaigre pour elle -mais moins que pour les vrais méchants-.
La libération de la femme : le giallo
D'un écart à l'autre, l'avènement du giallo permet de montrer la femme sous un jour plus ensoleillée. Meurtrière, mystérieuse, manipulatrice, séductrice, faussement fragile et soumise lorsque cela soutient ses intérêts, la femme se trouve alors au coeur d'intrigues échevelées, où elles passent de suspectes à victimes, magnifiées dans des morts atrocement magnifique rappelant que le meurtre est un grand acte érotique. Argento notamment, lorsqu'il ne tourne pas un Suspiria presque exclusivement féminin, laissa échapper sa fascination des femmes tout au long de sa filmographie, peignant quelques créatures suaves et girondes bernant les héros sans qu'ils s'en rendent compte, ces idiots.
Le film de cannibale
Ici nous touchons aux plus bas instincts de l'humanité, bas instincts auxquelles la femme devra faire face, réduite qu'elle est au statut d'animal et d'objet sexuel. Pour autant, une fois les derniers sévices accomplis, la femme deviendra la voix de la raison se dressant au milieu de la folie des hommes, lorsqu'elle ne se mue pas en une tornade vengeresse du plus bel effet.
Le film d'horreur
Esthétiquement, les chairs nues et les seins rebondis se mêlent avec le grains rapeux et le gore gros rouge des artisans transalpins. On peut dire que c'est donc très joli. Au milieu de ces tombereaux d'innocentes victimes, citons Catrionna McColl qui tire son épingle du jeu en campant chez Maître Fulci une troublante blonde hitckcockienne de l'épouvante. Il est d'ailleurs intéressant de noter que lorsqu'elle quitte son statut de victime, la femme du film d'horreur italien devient un bourreau des plus delectable (ex : le Dernier train de la Nuit)
La sexy comedie
Doctoresse en prise avec un régiment de troufions, nymphette au regard bleue opposée à des contenairs de lycéens en rut...et pourtant, la femme dans la sexy-comedie a une place assez spéciale. Elle est le receptacle de tous les fantasmes, de toutes les attentions. Tous les hommes à ses pieds, elle gambade l'air de rien, au milieu de soupirants médusés prêt à tout pour partager son lit sans se rendre compte qu'ils se font ballader par la queue.
L'érotisme et le porno
Ici comme pour le reste, tout dépend de la sensibilité des réalisateurs. Citons Tinto Brass qui de son habile coup de caméra a su magnifier les beautés anonymes peuplant ses films. L'icone, inconstestablement, c'est la Black Emanuelle de Bitto (!) Albertini, réponse colorée au film de Just Jaeckin où Laura Gemser, question charme, vaut bien Sylvia Kristel.
Conclusion
euh non avec toutes ces femmes je suis un peu intimidé, j'ose plus essayer de conclure.
Ah si juste une chose : y'a pas eu des masses d'héroines, par contre, le cinéma italien compte un sacré paquet de garces. Ce qui est quand même plus agréable à regarder (si si).
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Lestat- Vampire alsacien
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Age : 41
Date d'inscription : 12/12/2004
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Très joli dossier, Lestat
Ca me rappelle que j'ai vu Il était une fois dans l'Ouest pour la première fois il y a peu, et j'ai trouvé ça très bien... moi qui ne suis pas fana de western habituellement (quelle musique, pffiioooou même si je connaissais déjà un peu, bien sûr)
Et effectivement, Claudia Cardinale y est très belle, avec un joli rôle, même je trouve qu'il aurait pu être encore plus fort (enfin le film date des années 60 hein, faut pas charrier^^)
Sinon j'ai quand même tjs du mal avec l'image tirée de Cannibal Holocaust... brrrrrr
Ca me rappelle que j'ai vu Il était une fois dans l'Ouest pour la première fois il y a peu, et j'ai trouvé ça très bien... moi qui ne suis pas fana de western habituellement (quelle musique, pffiioooou même si je connaissais déjà un peu, bien sûr)
Et effectivement, Claudia Cardinale y est très belle, avec un joli rôle, même je trouve qu'il aurait pu être encore plus fort (enfin le film date des années 60 hein, faut pas charrier^^)
Sinon j'ai quand même tjs du mal avec l'image tirée de Cannibal Holocaust... brrrrrr
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Totorette sur une balançoire dans un champ de tournesols...
Qui veut des ravioli ?
forum sympa !
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Chose amusante avec cette image de Cannibal Ferox( ), c'est quelle met en scène Zora Kerova, jolie blonde qui dans sa singulière filmographie, a souvent écopé de morts tordues. :albino:
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Lestat- Vampire alsacien
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Date d'inscription : 12/12/2004
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Pareil que hidden sur Il était une fois dans l'Ouest. Il y a certains films qui sont devenus cultes à raison!
Par contre, ya vraiment pas assez de photos dans ce dossier!
Par contre, ya vraiment pas assez de photos dans ce dossier!
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Aujourd'hui on préfère une uniforme laideur à une beauté anarchique.
The masses are asses
Rêve américain, cauchemar indien, pogo avec les loups!
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nazgul666- Gentleman pervers
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Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
C'est très juste, voici de quoi complêter.
femme blanche être cuisiniée Al'pesto
Ma mie, je me languis d'amour, que diriez-vous d'un bon plat de pastas al'pesto ?
Non, je crois qu'ils n'ont pas de pastas al'pesto dans ce restaurant
Rien ne vaut un petit verre de Grappa, avant les pastas al'pesto
Hmmm, je sens d'ici le fumet des pastas al'pesto, quel dommage que je finisse égorgée dans la première bobine
Flute, des violeurs gauchistes aux cheveux longs, j'aurai mieux fait de rester à la maison à faire des pastas al'pesto
Je croque les hommes mais je craquerai bien pour ma copine. Nous allons conclure autour d'un bon plat de pastas al'pesto
Je reviens de chez Lestat, il fait divinement bien les pastas al'pesto, j'en suis toute retournée
Quand il n'y a plus de places en enfer, les morts reviennent sur terre pour manger des pastas al'pesto
Al pesto j'ai dit ! Tu bruto, tu stupido !
- Tu sais de quoi j'ai envie là ?
- oui de pastas al'pesto
Le tueur est dans la pièce à côté et les pastas al pesto aussi
femme blanche être cuisiniée Al'pesto
Ma mie, je me languis d'amour, que diriez-vous d'un bon plat de pastas al'pesto ?
Non, je crois qu'ils n'ont pas de pastas al'pesto dans ce restaurant
Rien ne vaut un petit verre de Grappa, avant les pastas al'pesto
Hmmm, je sens d'ici le fumet des pastas al'pesto, quel dommage que je finisse égorgée dans la première bobine
Flute, des violeurs gauchistes aux cheveux longs, j'aurai mieux fait de rester à la maison à faire des pastas al'pesto
Je croque les hommes mais je craquerai bien pour ma copine. Nous allons conclure autour d'un bon plat de pastas al'pesto
Je reviens de chez Lestat, il fait divinement bien les pastas al'pesto, j'en suis toute retournée
Quand il n'y a plus de places en enfer, les morts reviennent sur terre pour manger des pastas al'pesto
Al pesto j'ai dit ! Tu bruto, tu stupido !
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- oui de pastas al'pesto
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Lestat- Vampire alsacien
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Age : 41
Date d'inscription : 12/12/2004
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Devant cette galerie d'image je ne sais quoi dire ou faire, si ce n'est saluer ton immense talent mon cher Lestat.
_________________
In pejori optimi sumus (c'est dans le pire que nous sommes les meilleurs)
ninjardin- J'ai trouvé un avatar d'occaz
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Date d'inscription : 12/12/2004
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Lestat a écrit:
Je reviens de chez Lestat, il fait divinement bien les pastas al'pesto, j'en suis toute retournée
Voilà qui est bien essayé bravo Lestat, réussir à faire sa pub perso en douce (type je serai le mari idéal) au travers d'un topic culture cinoche c'est du grand art.
Re: La femme dans le cinéma italien [thèse gloubibglouba]
Ah! Voilà qui est mieux!
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nazgul666- Gentleman pervers
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Date d'inscription : 13/12/2004
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