Votre dernière toile
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Re: Votre dernière toile
J'ai vu Le complexe du castor. Un mec (Mel Gibson) est en longue dépression bien qu'il soit à la tête d'une boîte de jouets, papa de deux garçons et qu'il se tape Jodie Foster. Un jour Jodie le met à la porte. Du coup il prend de l'alcool et tente de se suicider. Mais c'est compter sans la vieille marionnette en forme de castor qu'il a retrouvé. La marionnette va se mettre à parler à sa place et va lui faire reprendre du poil de la bête...
Vraiment un très bon film, émouvant mais aussi intelligent. Parfait !
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Re: Votre dernière toile
hiddenplace a écrit:Franchement il a les moyens le Quentin, pourquoi il a pas réuni un casting parfait, c'est pas dur de trouver un black qui joue bien quand même (même français^^)
Re: Votre dernière toile
Tiens ya une Nuit Alien à Lyon en octobre. Est-ce que je vais me laisser tenter ?
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Re: Votre dernière toile
nazgul666 a écrit:J'ai vu Le complexe du castor. Un mec (Mel Gibson) est en longue dépression bien qu'il soit à la tête d'une boîte de jouets, papa de deux garçons et qu'il se tape Jodie Foster. Un jour Jodie le met à la porte. Du coup il prend de l'alcool et tente de se suicider. Mais c'est compter sans la vieille marionnette en forme de castor qu'il a retrouvé. La marionnette va se mettre à parler à sa place et va lui faire reprendre du poil de la bête...
Vraiment un très bon film, émouvant mais aussi intelligent. Parfait !
Oh j'avais vu ce film à l'époque, c'est vrai qu'il était bien (quoiqu'un peu déprimant aussi, certes)
Sinon dans notre cinéma, il passait BenHur en VO dimanche dernier. On est allés le voir, et malgré sa rediffusion à chaque Noël depuis ma naissance, je l'avais jamais vu. Ça n'a pas trop mal vieilli je trouve, et je comprends l'histoire du premier budget de ouf pour l'époque, la course poursuite en char, les décors et le nombre de figurants sont impressionnants. (et pour une fois, je n'ai pas trouvé que la course poursuite était trop longue, ça passait)
Par contre, je sais que ça date de 59, mais ça me perturbe quand même le rôle des femmes très très anecdotiques (voire pire) dans ces films.
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Re: Votre dernière toile
Ben Uhr est un célèbre film crypto-gay, ceci explique sans doute cela.
Un peu comme Lawrence d'Arabie, qui quelques trois ans plus tard proposait une épopée de 4h sans mettre une femme à l'écran. C'est assez déstabilisant.
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Re: Votre dernière toile
Ah c'est marrant, j'ai tout justement relevé qu'une quantité de scènes impressionnantes entre Ben Hur et Messala puis entre Ben Hur et le consul était très sensiblement des scènes de séduction gays. Le Bougnet était d'accord aussi, mais je ne pensais pas que c'était communément admis. Mais je n'ai rien lu du tout sur le sujet, je vais aller voir ça, tiens, huhu.
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Re: Votre dernière toile
De toute façon dès qu'il y a deux personnages à l'écran (ou ailleurs) sans personnage féminin, c'est forcément un truc gay. Comme entre Sam et Frodo. Genre deux mecs ne pourraient être amis sans être gays. Ce truc me fascine.
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Re: Votre dernière toile
Ah nan, perso je ne pense pas du tout ça (par exemple ce truc entre Frodo et Sam ne m'a jamais sauté aux yeux), en revanche dans Ben Hur, l'acteur qui joue Messala a une façon de regarder le perso de Charlton Heston qui est presque sans équivoque. (ça se sent vraiment à l'écran, c'est assez troublant si on imagine qu'ils ne sont qu'amis)
D'ailleurs du coup j'ai regardé un peu ça tout à l'heure sur le net, et c'est un fait avéré finalement : le scénariste et le réalisateur de Ben Hur ont écrit les deux personnages comme deux anciens amants pour de vrai, l'acteur qui joue Messala le savait et l'a joué comme tel, par contre personne dans l'équipe n'a osé le dire à Charlton Heston à cause de son conservatisme. Je me demande même comment ça ne lui a pas sauté aux yeux dans les scènes clefs, mais bon.
Il l'a appris des années plus tard, et même si le film et le personnage étaient révolus pour lui, c'était plus fort que lui, il a purement et simplement nié le fait que Ben Hur ait pu avoir avoir une liaison homosexuelle et ait pu "se retrouver nu avec et enlacer Messala" (je cite grosso modo ce qu'il aurait dit^^)
Voilà voilà.
D'ailleurs du coup j'ai regardé un peu ça tout à l'heure sur le net, et c'est un fait avéré finalement : le scénariste et le réalisateur de Ben Hur ont écrit les deux personnages comme deux anciens amants pour de vrai, l'acteur qui joue Messala le savait et l'a joué comme tel, par contre personne dans l'équipe n'a osé le dire à Charlton Heston à cause de son conservatisme. Je me demande même comment ça ne lui a pas sauté aux yeux dans les scènes clefs, mais bon.
Il l'a appris des années plus tard, et même si le film et le personnage étaient révolus pour lui, c'était plus fort que lui, il a purement et simplement nié le fait que Ben Hur ait pu avoir avoir une liaison homosexuelle et ait pu "se retrouver nu avec et enlacer Messala" (je cite grosso modo ce qu'il aurait dit^^)
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Re: Votre dernière toile
Puis bon, le dialogue avec les huitres et les escargots...
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Lestat- Vampire alsacien
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Re: Votre dernière toile
En me rasant, je me suis dit qu'il fallait que je rajoute "mais peut-être que pour ce film c'est une évidence". Ben voilà j'aurais dû
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Re: Votre dernière toile
C'est quoi Lestat, ce dialogue avec les huitres et les escargots ? (ou alors c'est une métaphore ?^^) Je m'en souviens pas... pourtant c'est frais, quand même.^^
Sinon pour éradiquer le doute, Naz :
et :
http://tcmcinema.fr/2011/03/09/ben-hur-1959-de-william-wyler/
Sinon pour éradiquer le doute, Naz :
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Re: Votre dernière toile
Haha Lestat je viens de chercher sur google cette histoire d'huitres et d'escargots, et en fait t'es comme le Bougnet avant qu'on aille voir le film la semaine dernière, il était persuadé de bien connaître Ben Hur, mais en fait il confondait totalement avec Spartacus^^ Cette scène dont tu parles vient de Spartacus, en fait.
Film que je n'ai pas vu non plus, tiens. Je suis vraiment une bille en classiques ciné.
Film que je n'ai pas vu non plus, tiens. Je suis vraiment une bille en classiques ciné.
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Re: Votre dernière toile
Mais c'est juste !
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Re: Votre dernière toile
J'ai revu les trois Batman de Christopher Nolan.
Batman Begins
Il vieillit très bien ce petit batman, qui ne souffre finalement que d'être le moins ambitieux des trois.
The Dark Knight
Déjà d'un autre niveau. Heath Leadger est démentiel est joker complètement allumé. Seul bémol, au bout d'un moment Nolan ne sait plus quoi faire avec et le laisse pendouiller à une corniche. Même sort pour Pile ou Face, a peine intronisé qu'il disparait...
Puis j'ai jamais compris pourquoi Batman était pourchassé par la police (Harvey Dent certes, mais déjà avant il semblait pas en odeur de sainteté).
Dark Knight Rise
Même recette mais un peu moins convainquante. Anne Hattaway est mignonne mais ne fait pas oublier Michelle Pfeiffer, Bane est un pur personnage à la destinée une fois de plus insensée (on est pas loin de Bobba Fett...), Marion Cotillard déballe son actor's studio, la guerre finale manque d'ampleur...Reste un épisode d'une belle noirceur et la figure maléfique de Bane qui hante tout le film. Et la peinture quasi gothique d'un Bruce Wayne reclu dans son château.
Saluons également Michael Caine, la classe incarnée (oui, comme Aldo).
Batman Begins
Il vieillit très bien ce petit batman, qui ne souffre finalement que d'être le moins ambitieux des trois.
The Dark Knight
Déjà d'un autre niveau. Heath Leadger est démentiel est joker complètement allumé. Seul bémol, au bout d'un moment Nolan ne sait plus quoi faire avec et le laisse pendouiller à une corniche. Même sort pour Pile ou Face, a peine intronisé qu'il disparait...
Puis j'ai jamais compris pourquoi Batman était pourchassé par la police (Harvey Dent certes, mais déjà avant il semblait pas en odeur de sainteté).
Dark Knight Rise
Même recette mais un peu moins convainquante. Anne Hattaway est mignonne mais ne fait pas oublier Michelle Pfeiffer, Bane est un pur personnage à la destinée une fois de plus insensée (on est pas loin de Bobba Fett...), Marion Cotillard déballe son actor's studio, la guerre finale manque d'ampleur...Reste un épisode d'une belle noirceur et la figure maléfique de Bane qui hante tout le film. Et la peinture quasi gothique d'un Bruce Wayne reclu dans son château.
Saluons également Michael Caine, la classe incarnée (oui, comme Aldo).
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Re: Votre dernière toile
(coucou tout le monde (faut que j'arrête de ne venir que tous les 15 jours, moi^^))
Aujourd'hui, j'ai vu Le rôle de ma vie (titre français pas terrible alors que l'original était Wish I was here) de Zach Braff, et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, ce qui ne m'a pas empêché d'a-do-rer.
Ce type est vraiment un boss, j'avais déjà aimé son premier film, Garden State, dans la même veine, mais qui était un peu plus absurde, décalé et évidemment plus porté sur le côté introspectif d'un seul perso.
Wish I was here c'est plus un film sur la famille, le deuil, le poids des traditions, la remise en cause de ses ambitions à l'aube de la quarantaine (ben oui, il s'est passé 10 ans depuis Garden State, Zach Braff ne se pose plus les mêmes questions).
Y a un tout petit peu plus de pathos dans Wish I was here (sujet oblige) vu les thématiques abordées (pourtant la mort planait aussi dans Garden State, mais c'était traité d'une façon absurde, irrationnelle et presque légère)
Mais qu'est-ce qu'il est juste, le Zach Braff, ça m'a vraiment touchée.
Et puis formellement, je trouve que pour un gars qui n'a fait que deux films à 10 ans d'intervalle, il assure vraiment comment un chef, y a des plans hyper chouettes, presque graphiques. Et sans parler de la BO (c'est simple, j'y retrouve quasiment tous les groupes que j'aime bien, et c'était pareil dans Garden State).
Bref, j'ai adoré.
(et j'ai encore un peu les larmes aux yeux rien qu'en repensant à certaines scènes et certains dialogues)
Aujourd'hui, j'ai vu Le rôle de ma vie (titre français pas terrible alors que l'original était Wish I was here) de Zach Braff, et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, ce qui ne m'a pas empêché d'a-do-rer.
Ce type est vraiment un boss, j'avais déjà aimé son premier film, Garden State, dans la même veine, mais qui était un peu plus absurde, décalé et évidemment plus porté sur le côté introspectif d'un seul perso.
Wish I was here c'est plus un film sur la famille, le deuil, le poids des traditions, la remise en cause de ses ambitions à l'aube de la quarantaine (ben oui, il s'est passé 10 ans depuis Garden State, Zach Braff ne se pose plus les mêmes questions).
Y a un tout petit peu plus de pathos dans Wish I was here (sujet oblige) vu les thématiques abordées (pourtant la mort planait aussi dans Garden State, mais c'était traité d'une façon absurde, irrationnelle et presque légère)
Mais qu'est-ce qu'il est juste, le Zach Braff, ça m'a vraiment touchée.
Et puis formellement, je trouve que pour un gars qui n'a fait que deux films à 10 ans d'intervalle, il assure vraiment comment un chef, y a des plans hyper chouettes, presque graphiques. Et sans parler de la BO (c'est simple, j'y retrouve quasiment tous les groupes que j'aime bien, et c'était pareil dans Garden State).
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Re: Votre dernière toile
J'en ai entendu parler. Il paraît qu'il est bien ce film. Moi je suis au niveau 0 des films ces temps-ci. Snif quand même.
Et sinon vivement que ça arrive en France :
http://www.numerama.com/magazine/30295-damnu-des-sms-projetes-au-cinema-pendant-les-films.html
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Re: Votre dernière toile
Ce samedi je suis allé au cinéma. Oui oui. Je suis allé voir Sin City : j'ai tué pour elle. J'avais vraiment beaucoup aimé le premier mais ce second opus fonctionne beaucoup moins bien. Je ne sais pas pourquoi parce que les ficelles sont les mêmes : images en noir et blanc avec un chouïa de couleur, violence et filles en petite tenue. Dans celui-ci, il y a Eva Green qui passe les 3/4 du film topless. C'est loin d'être désagréable.
Le premier est sorti en 2005, le deuxième en 2014. Presque dix ans entre les deux. Et ça se voit pour les acteurs principaux, notamment Mickey Rourke, Jessica Alba et surtout Rosario Dawson
Le premier est sorti en 2005, le deuxième en 2014. Presque dix ans entre les deux. Et ça se voit pour les acteurs principaux, notamment Mickey Rourke, Jessica Alba et surtout Rosario Dawson
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Re: Votre dernière toile
Y a longtemps que j'y suis plus retourné au cinéma tiens ! (la dernière fois c'était au quartier Boul'Mich où il y a des salles "d'art & d'essai" - j'étais tout seul à aller visionner "le manuscrit trouvé à Saragosse" très beau film en noir et blanc sorti en 1965 dont l'histoire abracadabrante se résume ainsi :
C'est l'histoire d’un mec.... savant égoïste qui passe toute sa vie à écrire sa propre encyclopédie. Tout sur tout ! Il termine dans son extrême vieillesse alors qu'il a passé toute sa vie seul à travailler, remplissant des piles d'énormes manuscrits qui s'entassent au grenier. Il est si heureux de cet accomplissement qu'il décide de fêter l’événement. Alors qu’il s’enivre dans un cabaret, un grand orage éclate. Il se précipite de rentrer chez lui, pour découvrir le grenier sans toit mais plein d'eau. La pluie a effacé irrémédiablement les forts nombreux tomes de son encyclopédie. Il gémit: "Une vie pour rien" et se jette par la fenêtre du grenier. Dans sa chute, le vieil homme s’écrie : "Dieu, si tu existes, sauve mon âme, si j'en ai une"
Maintenant, entre les bloque-buster imbibés de clampins grimaçants qui s'affichent l'arme au poignet (et en arrière plan une femme niaise & croustillante qui lui adresse forces oeillades et promesses non dites) ou le dernier nanar fantastique peuplé de jeunes puceaux(celles) qui se fond dévorer dans les entrailles d'un labyrinthe visqueux, en passant par les films pseudo-libérateurs-révélateurs d'une société condamnée à devenir vraiment fraternelle & égalitaire mais pour l'instant, en plein désarroi qui fornique sa mère et décortique ses comptes bancaires tous les 15 & 30 du mois, tremble devant Ebola tout en n'ignorant pas le sordide fait-divers avant, et les variables catastrophes climatiques de nos belles régions provinciales avec sondages, comparatifs et stat' à l'appui dans le cadre d'un passé récent, et millénaire (les carottes dans l'Arctique ) -après-
Une planète désorientée et alarmé par ce qu'elle mange (quand y aura plus de viandes, il restera les insectes ) et ce qu'elle respire - le même air sournoisement vicié que ces experts qui ont déjà entamé un compte à rebours mondialisé - Quand la pire des réalités commence à supplanter la fiction la plus absurde
HEUREUSEMENT il y a Findus et nos émissions TV politiques rigolotes qui finissent invariablement par l'envie de tout plaquer, femmes, hommes et enfants conçus par GPA:dwarf: & PMA pour partir sur la route vers des endroits encore préservés des éoliennes, la connerie et l'indulgence de façade de nos congénères en JC !!!
Mais bon, tout ceci c'est de la littérature hein ? de quoi alimenter le faux journal du GE
C'est l'histoire d’un mec.... savant égoïste qui passe toute sa vie à écrire sa propre encyclopédie. Tout sur tout ! Il termine dans son extrême vieillesse alors qu'il a passé toute sa vie seul à travailler, remplissant des piles d'énormes manuscrits qui s'entassent au grenier. Il est si heureux de cet accomplissement qu'il décide de fêter l’événement. Alors qu’il s’enivre dans un cabaret, un grand orage éclate. Il se précipite de rentrer chez lui, pour découvrir le grenier sans toit mais plein d'eau. La pluie a effacé irrémédiablement les forts nombreux tomes de son encyclopédie. Il gémit: "Une vie pour rien" et se jette par la fenêtre du grenier. Dans sa chute, le vieil homme s’écrie : "Dieu, si tu existes, sauve mon âme, si j'en ai une"
Maintenant, entre les bloque-buster imbibés de clampins grimaçants qui s'affichent l'arme au poignet (et en arrière plan une femme niaise & croustillante qui lui adresse forces oeillades et promesses non dites) ou le dernier nanar fantastique peuplé de jeunes puceaux(celles) qui se fond dévorer dans les entrailles d'un labyrinthe visqueux, en passant par les films pseudo-libérateurs-révélateurs d'une société condamnée à devenir vraiment fraternelle & égalitaire mais pour l'instant, en plein désarroi qui fornique sa mère et décortique ses comptes bancaires tous les 15 & 30 du mois, tremble devant Ebola tout en n'ignorant pas le sordide fait-divers avant, et les variables catastrophes climatiques de nos belles régions provinciales avec sondages, comparatifs et stat' à l'appui dans le cadre d'un passé récent, et millénaire (les carottes dans l'Arctique ) -après-
Une planète désorientée et alarmé par ce qu'elle mange (quand y aura plus de viandes, il restera les insectes ) et ce qu'elle respire - le même air sournoisement vicié que ces experts qui ont déjà entamé un compte à rebours mondialisé - Quand la pire des réalités commence à supplanter la fiction la plus absurde
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Mais bon, tout ceci c'est de la littérature hein ? de quoi alimenter le faux journal du GE
Dernière édition par Cirse le Lun 16 Mai 2016 - 20:50, édité 1 fois
Re: Votre dernière toile
Lestat a écrit:Ben Uhr est un célèbre film crypto-gay, ceci explique sans doute cela.
Un peu comme Lawrence d'Arabie, qui quelques trois ans plus tard proposait une épopée de 4h sans mettre une femme à l'écran. C'est assez déstabilisant.
Furyo c'etait pas mal non plus....
Bzzz- Pithivier glissant
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Re: Votre dernière toile
Cirse a écrit:
HEUREUSEMENT il y a Findus et nos émissions TV politiques rigolotes qui finissent invariablement par l'envie de tout plaquer, femmes, hommes et enfants conçus par GPA:dwarf: & PMA pour partir sur la route vers des endroits encore préservés par les éoliennes, la connerie et l'indulgence de façade de nos congénères en JC !!!
Mais bon, tout ceci c'est de la littérature hein ? de quoi alimenter le faux journal du GE
C'est beau ce que tu dis, t'inquietes notre ministresse de la santé a dit "Ebola c'est que pour les autres" donc, restes, quitte pas l'héxagone...
Bzzz- Pithivier glissant
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Re: Votre dernière toile
Bzzz a écrit:Cirse a écrit:
HEUREUSEMENT il y a Findus et nos émissions TV politiques rigolotes qui finissent invariablement par l'envie de tout plaquer, femmes, hommes et enfants conçus par GPA:dwarf: & PMA pour partir sur la route vers des endroits encore préservés par les éoliennes, la connerie et l'indulgence de façade de nos congénères en JC !!!
Mais bon, tout ceci c'est de la littérature hein ? de quoi alimenter le faux journal du GE
C'est beau ce que tu dis, t'inquietes notre ministresse de la santé a dit "Ebola c'est que pour les autres" donc, restes, quitte pas l'héxagone...
t'inquiètes, j'aime pas voyager. Pour Ebola, ils viennent de nous annoncer ce matin aux infos qu'ils ont détecté un cas à Paris - même pas peur -
Re: Votre dernière toile
ah bin non, ils avaient dit 20 jours on avait jusqu'au 29/10, va falloir que je m'active à faire mes valises...
Bzzz- Pithivier glissant
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Re: Votre dernière toile
Vu que j'avais 2*3h pour aller à Lille, j'en ai profité pour regarder quelques films.
- Fortress, un vieux téléfilm australien des années 80. En France il était passé sur La Cinq le nom de L'école de tous les dangers. Comme La Cinq a émis de 85 à 92, j'avais donc entre 7 et 14 ans quand j'ai vu ce film qui m'a franchement marqué. L'histoire est simple : un groupe de méchants masqués décide de kidnapper les enfants d'une petite école avec des gamins de 4-5 ans à 14-15 ans. Les masques : Mac The Mouse (j'imagine que Mickey c'était déposé), Duffy Duck (ou un truc du genre), un chat et un Père-Noël. Les machins enferment les gamins et la (jolie) maîtresse, lesquels s'échappent.
Pour la suite c'est en spoiler
- The Poughkeepsie tapes. Un faux documentaire sur un super serial killer qui change de façon de tuer et surtout qui fait exprès de dévoiler ses meurtres par des K7 VHS (les fameux Poughkeepsie tapes). Bon c'est pas extraordinaire et les passages dégueus sont filmés avec un vieux caméscope donc les images sont moches. À un moment le tueur est même masqué.
- Massacre à la tronçonneuse que je n'avais jamais vu ! Un petit film (même pas 1h30) qui se laisse bien regarder. Bon aujourd'hui ce n'est pas franchement effrayant mais on reconnaît tous les codes du slasher comme ils disent même s'il faut reconnaître que les meurtres sont franchement expédiés. Et le tueur est masqué bien sûr.
Quelques jours/semaines auparavant j'ai vu aussi :
- Triangle. Un film quelque part entre l'horreur et le fantastique. Une femme rejoint ses amis sur un voilier. Sauf que d'un coup plus de vent, et d'un coup de même une énorme tempête retourne le bateau. Ils sont tous recueillis sur un paquebot. Et c'est là que ça devient chelou avec un tueur (masqué évidemment). Mais je n'en dis pas plus, c'est vraiment à découvrir.
- Noroi, aussi connu sous le nom de The Curse. Un film japonais qui prend lui aussi le partie de faire un vrai/faux documentaire. Flippant comme un film japonais avec des héroïnes avec de longs cheveux et des démons (masqués). Mais une atmosphère très bonne et une histoire originale. Pas mal du tout.
Oui c'est une thématique masquess
- Fortress, un vieux téléfilm australien des années 80. En France il était passé sur La Cinq le nom de L'école de tous les dangers. Comme La Cinq a émis de 85 à 92, j'avais donc entre 7 et 14 ans quand j'ai vu ce film qui m'a franchement marqué. L'histoire est simple : un groupe de méchants masqués décide de kidnapper les enfants d'une petite école avec des gamins de 4-5 ans à 14-15 ans. Les masques : Mac The Mouse (j'imagine que Mickey c'était déposé), Duffy Duck (ou un truc du genre), un chat et un Père-Noël. Les machins enferment les gamins et la (jolie) maîtresse, lesquels s'échappent.
Pour la suite c'est en spoiler
- Spoiler:
- Sauf qu'ils finissent par se réfugier dans des grottes et à utiliser leur pouvoir Mac Gyver pour faire des pièges partout. Bref ils tuent les méchants, et notamment le dernier en l'attirant dans la grotte et en le frappant avec des pierres, des bâtons. Le dernier plan est sur une bouteille dans laquelle se trouve une coeur. Hum.
- The Poughkeepsie tapes. Un faux documentaire sur un super serial killer qui change de façon de tuer et surtout qui fait exprès de dévoiler ses meurtres par des K7 VHS (les fameux Poughkeepsie tapes). Bon c'est pas extraordinaire et les passages dégueus sont filmés avec un vieux caméscope donc les images sont moches. À un moment le tueur est même masqué.
- Massacre à la tronçonneuse que je n'avais jamais vu ! Un petit film (même pas 1h30) qui se laisse bien regarder. Bon aujourd'hui ce n'est pas franchement effrayant mais on reconnaît tous les codes du slasher comme ils disent même s'il faut reconnaître que les meurtres sont franchement expédiés. Et le tueur est masqué bien sûr.
Quelques jours/semaines auparavant j'ai vu aussi :
- Triangle. Un film quelque part entre l'horreur et le fantastique. Une femme rejoint ses amis sur un voilier. Sauf que d'un coup plus de vent, et d'un coup de même une énorme tempête retourne le bateau. Ils sont tous recueillis sur un paquebot. Et c'est là que ça devient chelou avec un tueur (masqué évidemment). Mais je n'en dis pas plus, c'est vraiment à découvrir.
- Noroi, aussi connu sous le nom de The Curse. Un film japonais qui prend lui aussi le partie de faire un vrai/faux documentaire. Flippant comme un film japonais avec des héroïnes avec de longs cheveux et des démons (masqués). Mais une atmosphère très bonne et une histoire originale. Pas mal du tout.
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Re: Votre dernière toile
Dernier film sur ma liste :
- You're next. Tout commence à peu près bien pour les petites retrouvailles d'une famille bourgeoise : les quatre enfants viennent voir papa et maman avec leurs conjoint(e)s. Jusqu'à ce que les meurtres s'enchaînent. Un film d'horreur (ou un survival pour ce cas) c'est toujours un mélange de frayeur (très peu pour celui-ci), d'humour volontaire (un petit peu) et d'humour involontaire (ici on a à peu près les 1001 façons de tuer quelqu'un). Les twists de fin de film s'enchaînent sans que ce soit particulièrement original. En vérité le scénario est même un peu débile. Mais on passe quand même un bon moment.
- You're next. Tout commence à peu près bien pour les petites retrouvailles d'une famille bourgeoise : les quatre enfants viennent voir papa et maman avec leurs conjoint(e)s. Jusqu'à ce que les meurtres s'enchaînent. Un film d'horreur (ou un survival pour ce cas) c'est toujours un mélange de frayeur (très peu pour celui-ci), d'humour volontaire (un petit peu) et d'humour involontaire (ici on a à peu près les 1001 façons de tuer quelqu'un). Les twists de fin de film s'enchaînent sans que ce soit particulièrement original. En vérité le scénario est même un peu débile. Mais on passe quand même un bon moment.
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The masses are asses
Rêve américain, cauchemar indien, pogo avec les loups!
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nazgul666- Gentleman pervers
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