SATURDAY NIGHT FEVER
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SATURDAY NIGHT FEVER
J'ai regardé ça hier sur mon récepteur Sony "écran plat" 16/9 , images à largeur variable (grâce à la télécommande) C'était la toute première fois ; bien sûr j'en avais entendu parler à l'époque because la fureur du disco et de la musique des Bee Gees, groupe britannique bon teint . Z'ont ramassé le pactole avec ça Au début de leur carriè-re c'était un bô petit groupe propret, avec les cheveux sur les épaules - un avatar de plus des quatre Fabuleux - Petits tubes tranquilles qui mangeaient pas de pain ........... ET PUIS UN JOUR ou peut être une nuit je sais pu, un producteur avisé introduit dans le milieu, au cours d'une de leurs tournées américaines , leur propose d'écrire la B.O. de ce calunanar pailleté leur faisant miroiter fortune et Gloire au bout de l'aventure Grandguignolesque ; eh ben ça a marché du tonnerre du Dieu tout puissant de la "Danse en semelles compensées et chemises pelles à tartes" En deux mots comme en cent, LE CARTON dont rêvent encore tant et tant d'ersatzs vainement télégéniques (la liste est trop longue pour tous les citer pffffffffff)
Du jour au lendemain, la drogue, les filles, Las Vegas , les garages pour limousines à rallonge (ouais comme le loup de Tex Avery )
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Mais revenons AU SUJET........ que dis_je au Héros du film , Tony Manero, splendide Italo-américain interprété par un John Travolta au firmament de sa forme et de son physique à défroquer un jeune curé (son frère dans le film, devenant la honte absolue de ses géniteurs ) dans un New York pas encore excessivement bouillonnant , à l'horizon duquel pointaient encore fièrement les deux tours du WTC )
L'histoire est insipide : un jeune ouvrier peintre dans une droguerie qui veut devenir une star de la Disco et qui vadrouille avec des teupos en chemises à col pelles à tartes (j'adore ) Il est un peu minable et de temps en temps, assiste goguenard, aux baisouilles à couilles rabattues de ses potes délurés, à l'arrière de bagnoles rutilantes aux cuirs souillés Puis un jour ou peut être une nuit , bon d'accord je me répète là dsl c'est la rencontre avec une femme coquette qui partage la même passion que lui , alors ils se mettent à s'entraîner pour être les meilleurs mais bon, y a des interférences passe que lui il en tombe amoureux mais la femme plus âgée qui a donc plus d'expérience, trouve gentil ce grand benêt tout en sentant sa libido chauffer sa robe de soie sous le regard de braise du bel hidalgo
ténébreux (vous remarquerez en bas à droite, le futur logo de la Star Ac')
Fin' bon, j'abrège ; alors y a un concours dans une boîte ironiquement appelé "le club 2001" au sein duquel joutent trois couples . Tony bondit sur la piste illuminée, tous les regards convergent vers ce splendide animal en sueur, objet des regards gourmants La performance est sensuelle mais piètre , derrière arrive un couple bondissant de métèques mexicains qui dansent comme des Dieux . Tony est fasciné mais le jury , malgré la performance technique supérieure du couple mexicain , le sacre sur le haut du Podium
T. MANERO dégoûté quitte les lieux , vouant ses copains décidément trop indulgents aux Gémonies puis piteux, décide de vivre avec l'élue de son coeur :P
Voilà une vieille belle histoire dont la moralité est bien sûr une fois de plus la haine de l'étranger qui vient piètiner les plates-bandes des autochtones arrogants et persifleurs, sur LEUR territoire mais alors dans celle-ci, les boots compensés et chemises aux cols "pelles à tarte" restent encore hilarantes
ça risque bientôt de revenir à la mode ces trucs là ............... au sec !!!!!!!!!!!!!!
Du jour au lendemain, la drogue, les filles, Las Vegas , les garages pour limousines à rallonge (ouais comme le loup de Tex Avery )
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Mais revenons AU SUJET........ que dis_je au Héros du film , Tony Manero, splendide Italo-américain interprété par un John Travolta au firmament de sa forme et de son physique à défroquer un jeune curé (son frère dans le film, devenant la honte absolue de ses géniteurs ) dans un New York pas encore excessivement bouillonnant , à l'horizon duquel pointaient encore fièrement les deux tours du WTC )
L'histoire est insipide : un jeune ouvrier peintre dans une droguerie qui veut devenir une star de la Disco et qui vadrouille avec des teupos en chemises à col pelles à tartes (j'adore ) Il est un peu minable et de temps en temps, assiste goguenard, aux baisouilles à couilles rabattues de ses potes délurés, à l'arrière de bagnoles rutilantes aux cuirs souillés Puis un jour ou peut être une nuit , bon d'accord je me répète là dsl c'est la rencontre avec une femme coquette qui partage la même passion que lui , alors ils se mettent à s'entraîner pour être les meilleurs mais bon, y a des interférences passe que lui il en tombe amoureux mais la femme plus âgée qui a donc plus d'expérience, trouve gentil ce grand benêt tout en sentant sa libido chauffer sa robe de soie sous le regard de braise du bel hidalgo
ténébreux (vous remarquerez en bas à droite, le futur logo de la Star Ac')
Fin' bon, j'abrège ; alors y a un concours dans une boîte ironiquement appelé "le club 2001" au sein duquel joutent trois couples . Tony bondit sur la piste illuminée, tous les regards convergent vers ce splendide animal en sueur, objet des regards gourmants La performance est sensuelle mais piètre , derrière arrive un couple bondissant de métèques mexicains qui dansent comme des Dieux . Tony est fasciné mais le jury , malgré la performance technique supérieure du couple mexicain , le sacre sur le haut du Podium
T. MANERO dégoûté quitte les lieux , vouant ses copains décidément trop indulgents aux Gémonies puis piteux, décide de vivre avec l'élue de son coeur :P
Voilà une vieille belle histoire dont la moralité est bien sûr une fois de plus la haine de l'étranger qui vient piètiner les plates-bandes des autochtones arrogants et persifleurs, sur LEUR territoire mais alors dans celle-ci, les boots compensés et chemises aux cols "pelles à tarte" restent encore hilarantes
ça risque bientôt de revenir à la mode ces trucs là ............... au sec !!!!!!!!!!!!!!
Dernière édition par le Mer 12 Avr 2006 - 12:34, édité 1 fois
Re: SATURDAY NIGHT FEVER
Je répond mais je ne sais même pas quoi écrire, tellement chui écroulé de rire de voir qu'un type de la classe de cirse à passer 90 minutes de vie à regarder cette bouse infamme (ce canunanar pailleté comme il dit si bien) et consacré également du temps pour rédiger une page de sa prose flamboyante. Ca ferait une belle critique pour Kri........
Ps: C'était quanf même mieux les bee gees dans Massachussets ou 1941 New-york mining disaster, hein mon filou
Ps: C'était quanf même mieux les bee gees dans Massachussets ou 1941 New-york mining disaster, hein mon filou
Re: SATURDAY NIGHT FEVER
La dernière fois que j'ai vu c'était ce film, c'était au milieu d'un pré. Il sortait tout droit de la partie postérieure d'une vache.
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Aujourd'hui on préfère une uniforme laideur à une beauté anarchique.
The masses are asses
Rêve américain, cauchemar indien, pogo avec les loups!
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nazgul666- Gentleman pervers
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Re: SATURDAY NIGHT FEVER
moi je ne fais que passer
bises à tous
bises à tous
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Re: SATURDAY NIGHT FEVER
Mitraillette!!!!!
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